Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 14:13

Pour rester dans le « même domaine », après vous avoir parlé du marketing direct de Séphora, je vais aujourd’hui évoquer le storytelling d’une grande marque de parfum. Mais avant tout, qu’est-ce que le storytelling ?

Le storytelling, c’est tout simplement, ainsi qu’avec le brand content, « the way to speak ». Quand on sait que 76% des consommateurs pensent que les marques mentent à travers leurs messages publicitaires, il était grand temps pour les marques de trouver une nouvelle façon de s’adresser à ses (futurs) consommateurs. Fini la réclame, fini la publicité place au storytelling. Et finalement, quand on y pense, c’est encore plus insidieux que toutes les autres techniques de marketing et de communication. Parce que là on vous prend aux tripes, on se dégage complètement de la rationalité, on vous charme, on vous raconte une jolie histoire (d’où le mot « storytelling », si c’est pas bien fait ça). On vous met en valeur la plupart du temps, car les marques se doivent de vous raconter une histoire, mais dans laquelle vous êtes le héros, l’acteur. Enfin, trêve de définition, j’ai décidé de vous parler d’un très beau storytelling  de la part de la marque Guerlain.

image

Vous avez récemment peut-être aperçu sur votre écran de télévision, sur vos moultes écrans reliés à internet ou au cinéma, la nouvelle campagne de communication « on storytelling based » appelée « La légende de Shalimar ».

Le spot, est sorti sous plusieurs formats : long sur internet et au cinéma (plus de 5 minutes),  « court »  à la télévision (plus de 3 minutes tout de même !). Il a coûté plus de 4 millions d’euros à produire, soit plus de 11000 euros la seconde. Hans Zimmer à la musique, Bruno Aveillan à la réalisation, (le même qui avait fait l’Odyssée de Cartier). Autant vous dire qu’il avait plutôt intérêt à faire convulser ses dames et messieurs de plaisir devant une histoire aussi grandiose. Et pourtant, cet acte de storytelling a été assez controversé. Les spectateurs au cinéma se sentaient comme pris au piège, obligés de regarder ce spot « interminable », et beaucoup de critiques ont été faites sur le court métrage (rue89 est d’ailleurs assez critique sur le sujet, c’est par ici : cliquez ).

 

Pourtant, en termes de storytelling, Shalimar de Guerlain est en plein dans le mille : le parfum date de 1925 (donc a une grande histoire derrière lui) et  la Légende de Shalimar raconte l’histoire d’amour de Mumtaz Mahal et Shah Jahan. Ces noms-là ne vous évoquent peut-être rien comme ça, mais Shah Jahan est l’empereur Moghol qui a fait construire le Taj Mahal en honneur de sa défunte et adorée épouse (là ça vous parle déjà mieux je pense).

Le spot de la légende de Shalimar est donc doublement du storytelling car il raconte une histoire sur le parfum, et un fait historique. Le nom lui-même est évocateur d’une histoire…  

Cependant, malgré les avis partagés sur la Légende de Shalimar, la marque affirme que 95% des réactions sont positives. Un nombre rassurant pour la marque vu les moyens déployés, et le spot lui-même, qui donne plutôt à rêver et est loin (très loin) d’être nul, comme peuvent le dire ses détraqueurs.

Si vous voulez vous faire votre propre avis, c’est par ici : 


Si vous ne pouvez pas lire la vidéo, cliquez là: La légende de Shalimar  

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 14:11

Pour tous les initiés du marketing, entendre que recruter un client coûte plus cher que de le fidéliser ne sera pas une découverte. Et ça, la marque Séphora l’a bien compris. Nous allons nous intéresser aujourd’hui aux techniques de fidélisation client de Séphora mises en place grâce à un marketing direct et personnalisé ultra performant.

Recruter un client coûte cher, mais surtout beaucoup plus cher que de le fidéliser. Et l’avantage avec un client fidèle, c’est qu’il achète plus souvent, et en plus grande quantité. On appelle cela « accroître  la fréquence d’achat et le panier moyen du client » dans le jargon des marketeurs. Mais comment s’y prend Séphora ?

image

  • Elle sélectionne ses fidèles

Séphora, contrairement à d’autres marques comme  Marionnaud, choisit ses adeptes. En effet, si Marionnaud compte plus de 10 millions de porteurs de carte fidélité, Séphora compte 8 millions de clients répartis sur 3 niveaux de fidélisation. La carte Séphora white(1er niveau)  permet de « tester » le client, pour voir s’il deviendra un client fidèle qui mérite d’être récompensé. Si le client effectue 4 passages en caisse ou dépense plus de 150 euros, alors il deviendra porteur de la carte Séphora Black, qui lui permettra de bénéficier de plus d’avantages. Enfin, les meilleurs clients, sont sous la bannière Séphora Gold et ont des avantages beaucoup plus qualitatifs qu’avec la carte Séphora Black. Cette « sélection » de clients permet à Séphora de ne pas récompenser tout le monde (nous avons tous déjà pris une carte de fidélité sans jamais remettre les pieds dans ce magasin) et de chouchouter les clients à fort potentiel de fidélisation. Plutôt ingénieux.

  • Elle pourrie gâte ses meilleurs clients

Pour votre anniversaire, vous avez droit à un cadeau sur simple visite en magasin, vos points sont doublés le jour de votre anniversaire, vous avez régulièrement droit à des échantillons sur simple présentation du livret Séphora, tous les mois vous avez droit à une offre de 20% de réduction sur vos achats, vous recevez 10% de réduction tous les 4 passages en caisse ou tous les 150 points cumulés, vous avez droit à une prestation du bar à beauté chaque mois, la livraison offerte sur séphora.fr… Entre autres ! Séphora aime (le portefeuille de) ses clients fidèles et le prouve. Aucune autre marque ne propose autant d’avantages, de petites attentions, de cadeaux à ses clients. Et le pire, c’est qu’en plus de vous pourrir, elle vous comprend : Séphora sait s’adapter aux insights de ses clients. Preuve en est que récemment la marque a mis en place un système de conversion de bons de 10% de réduction pour les clients qui en avaient plusieurs et ne savaient qu’en faire. Solution proposée, contre 4 bons, vous receviez une carte cadeau de 15€ ! Une façon d’avoir un système de récompense du client non pas efficace mais bien efficient.

  • Elle propose un marketing direct vraiment personnalisé

Vous connaissiez le marketing direct classique qui vous jure que vous allez gagner 5000 euros parce que vous êtes une de leurs meilleures clientes alors que vous n’avez rien acheté depuis 10 ans ?

Découvrez le marketing direct complètement personnalisé de Séphora. Séphora vous écrit régulièrement pour vous envoyer vos bons de réduction, des échantillons personnalisés, des catalogues, des suggestions de produits en fonction de vos achats précédents etc. Et la marque a bien raison. Car comment acheter un produit qui répond à un de nos problèmes ou qui est complémentaire d’un produit que l’on achète déjà si on ne le connait pas ? L’adage dit qu’on ne peut acheter que ce que l’on voit et Séphora fait tout pour vous ouvrir les yeux.

  • Elle vous veut du bien et n’oublie pas de vous le dire

La présence à l’esprit est très importante, et ce pour n’importe quelle marque. Coca Cola a beau être une des plus grosses marques au monde, cela ne l’empêche pas de communiquer de façon intensive, car même elle, pourrait tomber dans l’oubli si elle arrêtait toute communication. Dans le cas de Séphora, le marketing direct se fait de façon multicanale : vous recevez un courrier de la marque, deux jours plus tard un e-mail, l’instant d’après un message sur votre téléphone… Il faut bien au moins ça pour vous rappeler que votre tube de mascara est presque sec et qu’il faut aller lui chercher un remplaçant.

  • Elle incite à aller en magasin et donc à acheter

Là où la marque est surtout très forte, c’est pour agir sur le conatif du consommateur. La marque a une capacité à faire se déplacer les clients assez impressionnante. Séphora multiplie les occasions de vous faire sortir de chez vous et ainsi vous rendre chez elle ! Le cadeau d’anniversaire à venir récupérer, les réductions spéciales (-20%, -25%), les échantillons gratuitssur simple visite, etc. sont autant de raisons de vous faire franchir le seuil du magasin ! Et lorsque vous êtes dans le magasin, vous êtes tenté par le nouveau parfum  Guerlain, par les têtes de gondole aguicheuses, par les produits innovants inutiles donc forcément indispensables… et vous craquez. Même si vous n’avez pas acheté grand-chose ou pour pas cher, c’est toujours un achat que vous n’auriez pas effectué si vous n’aviez pas été incité à venir en magasin.

 

La stratégie de marketing direct de Séphora montre encore une fois qu’elle est très performante et permet d’augmenter et les quantités achetées et la fréquence d’achat des Séphora addicts.

Partager cet article
Repost0
4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 10:15

Les produits de grande consommation font tellement partie de notre quotidien qu’une simple image suffit à véhiculer un message commercial. L’agence DBB a fait le pari audacieux de détourner cette image immédiatement évocatrice au profit d’une grande cause nationale. Une voie d’avenir en terme de communication ?

DDB-illettrisme-3.jpg

Encore une publicité pour du mascara mettant en scène une femme à la peau parfaite et aux cils toujours plus longs. Nous tournerons les pages de notre magazine en ayant survolé la publicité, sans faire attention au message inscrit comme nous le faisons la plupart du temps.

 

Vous vous doutez bien que si cet article est consacré à cette publicité, ce n’est pas pour vanter ce produit de grande consommation. Attardez-vous deux minutes dessus. Et oui, cette campagne a pour but de lutter contre l’illettrisme et non pas de présenter le dernier mascara qui révolutionnera votre regard.

 

L’agence DBB fait preuve d’ingéniosité quand il s’agit de faire de l’illettrisme LA grande cause nationale 2013. La publicité ne pouvait pas être plus représentative de la triste réalité. Nous survolons les publicités comme nous survolons l’être humain. Nous prêtons peu attention aux publicités pour les produits de grande consommation comme nous prêtons peu attention au monde qui nous entoure. Notre regard se pose sur cette image, il ne voit que l’objet apparent de la publicité et de même notre regard sur notre société ne voit que notre société de consommation.

 

L’illettrisme est un handicap qui ne se voit pas. Nous passons à côté des gens sans nous attarder sur eux, sur ce qui peut les toucher. Hélas, plus de 3 millions des français resteront persuadés qu’il s’agissait d’une publicité pour du mascara et seront donc incapables de déceler le message. Cette campagne ne cible donc pas la population touchée par ce handicap, mais vise à faire comprendre à tous les autres l’importance de la gêne quotidienne que rencontrent les illettrés.

 

 Cette publicité est efficace à plusieurs égards. Elle nous montre à quel point nous survolons les messages écrits contenus dans ce registre publicitaire, où l’image prime sur le texte. Ensuite, elle nous ébranle en nous faisant toucher du doigt ce que vit une proportion non négligeable de la population. Le chiffre énoncé de trois millions fait froid dans le dos. Ainsi informés, nous nous sentons immédiatement coupables, nous qui savons lire et écrire sans difficulté et qui ne pensons pas à ceux qui en sont incapables tellement cela nous semble banal. Le contraste entre l’image « glamour » et la réalité qu’elle dénonce renforce le message transmis.

 

DBB joue sur les codes de la grande consommation en détournant les codes publicitaires afin de s’adresser au plus grand nombre. DBB souhaite inscrire ce phénomène dans ce qu’il y a de plus réel, de plus quotidien. Ramener cette cause à un sujet aussi ordinaire qu’est la consommation permet de sensibiliser avec finesse et intelligence tout en plaçant les personnes en situation d’illettrisme au centre de la société. Cette campagne valorise l’action des communicants qui se sont servis de leurs techniques habituelles pour migrer du champ de la consommation vers celui d’une grande cause sociétale. Cette nouvelle technique de communication fera sans doute des émules et l’on peut parier que d’autres agences mettront leurs compétences acquises dans le domaine marchand au service d’autres causes.

Partager cet article
Repost0
16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 17:33

panda.jpg

J'avais déjà écrit un article sur la publicité Panda, mais je l'aime tellement que je me suis sentie obligée de la décortiquer un peu mieux que ça. C'est parti !

 

Alors pour ceux à qui ça ne dirait rien, la campagne de publicité « Never say no to Panda » (2010) met en scène un panda (comme par hasard) qui promeut les produits éponymes. On voit différents personnages se faisant proposer du fromage Panda et tous refusent la proposition... Et là c'est le drame. Le panda se venge en faisant des crasses aux protagonistes. Et là où la publicité est forte c'est que l'on comprend toute la rage qu'a le panda, sans qu'il ait à utiliser la violence ou un déferlement de colère. Tous ses gestes sont lents, calculés, méthodiques et finalement très drôles. La musique récurrente « Just you know why ... » accentue encore le comique de la situation.

 

Après cette brève présentation, je voudrais maintenant vous expliquer pourquoi, je trouve cette publicité intéressante.

 

Une forte identité

 

La hantise des marques est d'investir dans un budget de communication pour qu'au final le consommateur se dise « Ah j'ai vu une publicité qui était marrante, tu sais celle avec l'indien mais je sais plus si c'est Renault ou Peugeot... ». D'où le besoin réel des marques de se créer une identité forte pour ne pas être confondue avec ses concurrentes.

Prenons l'exemple d'un produit basique comme de l'eau. De l'eau c'est de l'eau me direz-vous. Et bah non. Si vous achetez Vittel vous achetez de la vitalité, pour Evian vous achetez de la jeunesse, et pour Taillefine, on vous vend de la minceur. Dans tous les cas vous n'achetez que de l'eau, mais vous savez que votre eau d'Evian n'a rien à voir avec votre Taillefine parce qu'elles n'ont pas les mêmes fonctions.

 

Enfin bref, vous m'avez comprise, les marques ont besoin d'avoir une identification forte. Et c'est exactement ce qu'a fait Panda ; vous pourrez reconnaître parmi n'importe quelle publicité celle pour le fromage Panda grâce à l'ambiance, le panda, la musique, ou le schéma «- Tu veux du fromage Panda - Non ; la chanson Just you know why ; la vengeance du panda suivi de « Panda, never say no to Panda ». Et pourtant, on ne vous vend qu'un fromage basique hein.

 

Un spot contre les codes de la pub'.

 

Imaginez, vous êtes un créatif, et un jour, un client vous demande une publicité drôle et décalée, pour un fromage. Ah.

Le point fort de la publicité est qu'elle ne vous vante pas les mérites du fromage, on ne vous dit pas « Hum qu'il est bon mon fromage, et regardez comme il fond dans mes pâtes vu qu'il est issu du cœur de la meule grâce à des vaches 100% bios... ». On ne voit même pas le produit en utilisation. On ne sait pas avec quoi il se mange. On ne sait pas à quoi il ressemble. On ne sait même pas si c'est du vache, du chèvre ou du brebis (A moins que ça soit du fromage de Panda... Ça existe le fromage de Panda non ?). Et pourtant par curiosité, vous pourriez être tenté d'acheter le produit pour voir ce qu'est ce drôle de fromage.

 

Enfin, ce que je trouve de plus surprenant, c'est que la publicité nous vend du rêve (« Guilietta, je suis faite de la même matière que les rêves »), de la liberté (« I am fruiiiiiiiiiiiit ») ou du bonheur (« Coca Cola, ouvre du bonheur »).

Alors que cette publicité nous vend juste une bonne tranche de rire.

 

Et pire, elle montre des consommateurs qui achètent du fromage Panda sous le chantage du Panda. Normalement, on choisit d'acheter quelque chose parce qu'on en a envie ou besoin, mais surtout pas parce qu'on y est contraint. Et pourtant, le chantage, la contrainte est exactement le concept de cette publicité. Et pourtant ça ne choque pas, on trouve même ça marrant. On pourrait presque voir une autodérision de la publicité, car finalement l'homme n'achète jamais vraiment librement, car si c'était le cas, la publicité n'existerait pas.

 

Panda : 1 ; Consommateur : 0.

 

Mais assez de mots, allez voir par vous-même cette publicité qui est à mon sens, une leçon de publicité.

http://www.youtube.com/watch?v=BoIJUApLKOg

Partager cet article
Repost0
27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 16:22

La publicité suivante est pour une marque de bière italienne, et il faut dire que l'annonceur, parmi toutes les propositions que les créatifs ont dû faire, a opté pour l'originalité (pour une fois...) !

 

La manière la plus simple de faire la promotion d'une boisson à la télévision, est d'insister sur le goût, le rafraîchissement, ou la composition. Mais Birra Moretti préfère compliquer la chose, et tant mieux !

 

C'est une publicité créative, car il faut attendre les derniers moments du spot pour comprendre où veut en venir l'annonceur et quel est le message délivré. On aurait presque vu cette publicité pour  Canal +!

 

Nous vous laissons la découvrir, ou la revoir pour les connaisseurs!

 

Partager cet article
Repost0
27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 14:58

L'autre jour je suis tombée sur une vidéo regroupant un certain nombre de publicités datant des années 70 et 80, et force est de constater que la mode publicitaire de l'époque était le chant/la musique.

 

L'annonceur qui n'avait pas crée sa petite chansonnette pour vanter les mérites de son produit était juste HAS-BEEN.

 

Mais la publicité est en constante évolution (heureusement), et il est intéressant de comparer les façons de vendre un même produit, selon les époques. Et pour certains produits, on constate que les moyens déployés n'ont presque pas pris une ride depuis plus de 30 ans.... (Pour ne pas nommer la publicité Mr. Propre).

  

Alors panne d'inspiration ou accord entre les géants des produits d'entretien?

 

Pourtant les produits d'entretien, produits phares de la ménagère de moins de 50 ans (la fameuse!) devraient inspirer les publicitaires, et preuve est faite qu'il est possible d'être créatif avec des produits tout ce qu'il y a de plus banal.

Par exemple, Spontex avec sa mascotte Ernie, et ses scènes de vaiselle... torrides! Ou encore les singes de la lessive OMO...

 

Exemples qui montrent qu'on peut faire preuve de créativité même avec des produits complètement banals!

 

 

Partager cet article
Repost0
21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 12:26
Qui n'a jamais été victime de la tartine beurrée, qui, quoi que l'on fasse, se retrouve inexorablement face beurrée contre terre?    
Alors révoltons nous contre la dictature-de-la-tartine-qui-choit ! Grâce à la publicité "Flying Horse" ci-dessous, une révolution est en marche...
 
       
P.S. Le chat beurré vous souhaite évidemment de bonnes vacances et souhaite un bon courage à ceux qui passent leurs examens ...
Partager cet article
Repost0
21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 12:05
L'autre jour, j'ai découvert la publicité "Rent a Puppy" qui m'a fait penser au credo "Si tu veux vendre, ta publicité doit comporter un bébé, un chien, ou une jolie femme" (Amen), alors j'ai décidé de vous faire partager cette publicité qui ne déroge pas à la règle!
Une publicité anglophone originale pour vendre du "Bourbon"... Je vous laisse en juger par vous-même ;)
 
       
Au passage, cette vidéo estivale m'invite à vous souhaiter un bon été 2012, Have fun ! ;)
Partager cet article
Repost0
29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 20:46
Voici une publicité pour une marque de fromage egyptienne "Panda Cheese". Une publicité drôle, décalée et surtout très créative pour vendre du fromage! Et si votre meilleur argument de vente était un Panda?
Une publicité à voir ou à revoir ! :)

Partager cet article
Repost0
23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 20:05

Jeudi 12 avril: Lancement de la campagne Tippex 2!

 

Nous avions découvert en 2010 la campagne virale de Tippex mettant en scène un ours et un chasseur... et pour cette année 2012, Tippex remet ça grâce (toujours) à l'agence Buzzman. Cette fois, l'ours et le chasseur fêtent l'anniversaire de leur rencontre, mais une météorite vient bouleverser ce bel anniversaire...

 

Encore une fois, la campagne est intéractive. Cette année, le chasseur vous invite à taper l'année de votre choix pour assister à un anniversaire ... intemporel !

Alors à vos claviers c'est par ici ! tippex 2

Partager cet article
Repost0

Une Petite Présentation S'impose!

  • : Le blog de vouloir-libere
  • : Ce blog est un blog axé sur le marketing et la communication. Vous y trouverez nos publicités coup de coeur et des publicités sorties tout droit de notre imagination! Nous (Pauline Mauclair et Anne Latuille) sommes ici pour vous faire partager notre passion... Enjoy ! :)
  • Contact

Recherche

Liens